Présentation. 12H31/12h35
Le
Loup sort dans sa tanière …
Provoscopiennes
et provoscopiens : en ces veilles crypto-révolutionnaires, le
Loup, le Renard et la Belette vous saluent ! Vous avez la chance
d'écouter PROVOSCOPIE, l'émission diffamante de la bande FM.
Aujourd'hui, divergeons encore une fois, et sortons des sentiers
battus. Comme l'usage le veut dans Provoscopie, chaque quinze jours,
un des membres du Conseil éditorial est le rédacteur en chef de
l'émission. Et c'est au tour de quelqu'un que vos oreilles
connaissent bien : Jean-Pierre Grand, le maire de
Castelnau-le-Lèz. Il aurait dû, il aurait pu … inviter deux
personnalités de son choix pour débattre sur les thèmes qu'il
souhaitait.
Mais, mais, mais,
mais … il est venu : seul, tout seul, tel un déshérité !!!
Peut-être parce que, depuis qu'il n'est plus député et qu'il ne
fait plus la Une dans son opposition de droite à Sarkozy, il n'a
plus d'amis !!!
Alors, l'émission
sera quelque peu différente. Mais à Provoscopie on ne craint pas la
différence … C'est même un droit, faute que ce soit un devoir !
Et c'est donc un Jean-Pierre Grand qui officiera durant 90 minutes en
tant que rédacteur en chef mais aussi en tant qu'invité(s) qui vous
est proposé !!! Il faudra donc qu'il SE pose des questions !
Amusant, non ?
Et que la
Divergence soit !!!
Citoyen Grand,
Monsieur le Maire, dîtes-moi …
Vous avez
souhaité que l'on converse autour de deux thèmes principaux :
- L'avenir de nos territoires,
- Et … La grande bataille des municipales à venir du côté de Montpellier.
Nous en
rajouterons un troisième si vous le voulez bien :
- La vie et l'oeuvre d'un politique à l'ombre des grands !
Et qui sont
nos invités ?
Un trio
schizophrénique digne du roman de Stevenson … Trois
Jean- Pierre Grand en un seul homme :
le citoyen engagé dans la Cité.
Jean-Pierre
Grand,
le trublion gaulliste de la droite.
Jean-Pierre
Grand, l'homme qui ne fut jamais ministre.
Bonjour à
tous … Et bonne divergence !
Allez, un « bon
mot » de chacun … Que les Jean-Pierre Grand s'expriment s'ils
le veulent bien !!!
Mais, avant tout,
votre Belette préférée s'apprête à pousser un cri …
Rude tâche …
Je ne vous en dis pas plus. A toi, la Belette !!!
Le
cri de la Belette. 12H35/13h37
12h35 :
Jingle de la Belette.
A bas la
commune !
Chronique
de la Belette …
12h37
Jingle de la Belette.
Le
Loup :
Au-delà de ce
cri, revenons à la raison … et écoutons ce que nos Jean-Pierre
Grand auraient à dire !
OPUS
1. 12h37/13h00
Le Loup :
Débriefing vino-urbain …
Nous
sommes en compagnie de trois Jean-Pierre Grand, le premier est
citoyen, le second est maire. Quant au troisième, il semblerait
qu'il ne sera jamais ministre même s'il fut député !
Parole maintenant
au citoyen … qui est connu comme un éminent épicurien depuis le
siècle dernier.
Mais, avant tout,
… provoscopons la noble boisson régionale qu'est le vin !
Quel est donc ce
flacon qui doit flatter nos sens ?
Allez, goutons
voir si le vin est bon !
Que
reste-t-il de nos territoires ?
Débat
… Du district à la métropole, à quand la fin des communes
issues de la Révolution française ?
Que
pense le Maire Grand de ces 36000 communes françaises qui ont
remplacé les paroisses de l'Ancien Régime ? Ne faut-il pas
passer à autre chose ?
L'intercommunalité
date en fait de la fin du XIXème
siècle lorsque les faubourgs ont été intégrés de gré ou de
force dans les villes centre. Ne faut-il pas simplement poursuivre
cette politique venue du Second Empire ?
La nouvelle
intercommunalité faite de communautés de communes, d'agglomération
et urbaine a-t-elle réellement un sens ? Prenons des exemples
locaux : est-ce admissible que Mauguio, par exemple, ne soit pas
dans l'agglo' de Montpellier ? Au-delà, le citoyen Grand est-il
favorable à la création d'une métropole montpelliéraine qui
ferait la « nique » à Marseille et à Toulouse ?
Débat
… Des départements aux régions, à quand le retour des
provinces issues de l'Ancien Régime ?
Citoyen Grand,
les départements qui datent de 1790, géographiées afin que de la
préfecture on puisse le parcourir en une journée de cheval, ont-ils
encore un sens aujourd'hui ?
Les régions
formalisées sous le régime de Vichy ne sont-elles pas une injure à
l'Histoire ?
Ne devrait-on
penser à re-créer les provinces d'antan qui étaient fondées sur
les peuples : avec une vraie Bretagne qui comprendrait Nantes,
un Dauphiné grenoblois, un pays basque qui franchirait la frontière
espagnole, un Languedoc qui irait de la Loire à la Méditerranée et
redonnerait la Catalogne française aux Catalans espagnols ?
Bref, une
centaine de communes et une dizaine de régions autonomes, ne
serait-ce pas une solution proudhonienne donc fédéraliste qui
conviendrait à la réalisation de l'Union européenne ?
Débat
… Des nations aux Etats-Unis d'Europe, à quand l'avènement
d'un empire occidentalo-européen ?
Député Grand,
l'Union européenne compte aujourd'hui 28 membres qui co-gouvernent
le continent. Ce concert des nations digne du congrès de Vienne
n'est-il pas un anachronisme ?
Pourquoi ne pas
officialiser une Europe des régions, une Europe des peuples en lieu
et place des cette Europe des nations ?
Bref : quels
sont les avenirs souhaitables, les avenirs possibles pour les
territoires français ?
On converse, on
digresse, on diverge. C'est agréable, c'est bien ! Mais à
force de faire de « la schizo-cratie » on finirait par en
oublier le monde !!!
Alors
détendons-nous avec un peu de musique afin qu'on se re-sociabilise
quelque peu …
13h00
Musique N°1.
Le
coup de pinceau du Renard. 13H03/13h05
13h03 :
Jingle du Renard.
Retour
dans nos studios en la compagnie de nos trois Jean-Pierre Grand …
Mais avant de leur repasser la parole, j'ai peur que le Renard n'ait
un joli coup de pinceau à brosser sur la toile radiophonique. Et
qu'avant que nous digressions sur les échéances électorales à
venir, il n'ait un peu de couleur politico-subversive à mettre, il
s'entend … A toi mon Renard !
A
bas la parité ?
Chronique du
Renard.
Peut-on croire
que la présence des femmes en politique adoucit les mœurs, humanise
les comportements, transforme l'exercice du pouvoir en acte de
vertu ?
La bataille pour
l'accès des femmes à la politique demeure légitime et nécessaire.
Aucune femme ne saurait souffrir de discrimination. Mais les
extrapolations sur les avantages supposés de la féminisation de la
classe politique relèvent d'une conception idéalisée de la nature
de la femme.
Nos femmes
politiques aux gouvernements, dans les chambres législatives ou
sénatoriales, ou dans les collectivités territoriales, qu'elles
soient différentes les unes des autres, sont de fortes femmes qui ne
s'embarrassent guère de sensiblerie et qui peuvent user des larmes
comme des armes. Elles ont réussi à se hisser au-dessus de leurs
pairs grâce à l'ambition, la pugnacité, le sang froid. Autant de
qualités si peu 'féminines' !
Il faut en finir
avec ces qualités spécifiques de l'un ou de l'autre sexe …
Loin de moi de
penser que la politique soit réservée aux seuls cyniques des deux
sexes ! Mais la femme moderne, décomplexée, affranchie,
ambitieuse, en quête de pouvoir … a fracassé cette image de la
féminité. La non-différenciation des sexes dans l'espace public
est devenu une réalité de l'époque. La féminité et la
masculinité : bien malin celui qui peut les définir de nos
jours.
Et cela m'amène
à une réflexion : et si, loin d'être un handicap, le fait
d'être une femme en politique était devenu une chance ? De
jolies fleurs dans des peaux de vaches, de jolies vaches déguisées
en fleurs !!!
13h05 :
Jingle du Renard.
Le
Loup :
Parlons
peu, mais parlons bien … et retournons-nous vers nos trois Grands
amis, qu'ils soient citoyen, maire ou ancien parlementaire … Et
introduisons un peu de Yin et de Yang dans la discussion !
OPUS
2. 13h05/13h30
Le
Loup :
Retour
dans nos studios en la compagnie de nos trois Jean-Pierre Grand …
Et que demande le Peuple ?
Mais avant de
revenir sur les thèmes que vous avez choisis, parlons encore un peu
de … flacons et de vin !
Débat …
La viticulture du Midi a-t-elle encore un avenir dans la
mondialisation ? Ne faudrait-il pas commencer à faire deux vins
différents : un pour l'exportation au goût des autres, un
autre pour les gens d'ici à notre goût ? A la mode de Philippe
Brouillet, l'éminent oenologue castelneuvien !
Bon ! Fi
donc des flacons.
Allez, une
petite provoscopie : Citoyen Grand, qui sera le maire de
Castelnau-le-Lèz au lendemain des municipales ? Et ne me dites
pas que ces sont les électeurs qui choisiront !!! A moins que
vous ne soyez devenu « copiste » … et que vous vous
entraîniez à la langue de bois !!!
La grande
bataille des municipales de 2014 ?
Débat …
Comme il souvent d'usage en France, les Français confondent les
élections. Et, entre chaque présidentielle, ils pratiquent le
« vote sanction ». Il est probable qu'il en soit ainsi en
2014 !
Globalement, les
Français sont fort mécontents de la politique du gouvernement et de
Hollande qui, vraiment, mérite son surnom de « couci-couça » !
N'est-ce pas une chance historique pour la droite française,
particulièrement à Montpellier ?
Les municipales
sont des élections « à part » : les électeurs
votent plus volontiers pour un homme, voire une femme, que pour une
étiquette. De plus la prime aux sortants est souvent la clé de
l'élection. Cela ne risque-t-il pas de contredire le vote sanction ?
D'autre part,
revenons un instant sur la parité. N'est-ce pas un véritable
casse-tête pour composer une liste lors des municipales notamment ?
Débat
… En quelques mots, quelles sont les perspectives
castelneuviennes pour 2014 ?
Citoyen député
Grand, parlons avant tout de cumul des mandats et du nombre de
mandats : à quoi rime cette volonté jeuniste de vouloir les
interdire ? Peut-on exercer efficacement un mandat de maire
faute d'être en même temps député ou sénateur ou au moins
conseiller général ?
Monsieur le maire
Grand, à quand un nouveau maire à Castelnau ? Ne faut-il pas
préparer sa propre succession ? A ce sujet, comment va le
camarade Lafforgue ?
La droite
sarkozienne s'est vengé lors des dernières législatives. La hache
de guerre est-elle enterrée ?
Débat
… La clé géopolitique reste la mairie de Montpellier et son
corolaire la présidence de l'Agglo'. La presse s'en gargarise déjà
… qu'en est-il du marigot des pouvoirs, notamment à droite ?
Citoyen
Grand, que dire du dossier de Jacques Molénat et de celui de Jeudi
Tout à propos des
municipales montpelliéraines ? N'est-ce pas valoriser la
République des copains et des coquins ?
Monsieur le Maire
Grand, Hélène Mandroux a-t-elle encore un avenir ? Quelles
sont les portes de sortie pour Jean-Pierre Mourre ? Philippe
Saurel aura-t-il d'autres appuis que ceux de quelques frères et
barons de caravètes ?
Monsieur le
député Grand, la rumeur circule d'une candidature de poids venant
de la droite … Faute d'un parachutage, la droite locale a-t-elle
une petite chance après 40 ans de défaite ? Est-ce
souhaitable ?
Bon !
Alors !!! Définitivement, nos trois Grand ne sont pas dans le
moule lorsqu'ils acceptent de ne pas pratiquer la langue de bois !
Revenons dans le
monde, dans la bonne société qui nous accueille, qui nous fait
vivre … et détendons-nous avec quelques notes de musique …
13h30 :
Musique
Le
trait de plume du Loup. 13H33/13h35
13h33 :
Jingle du Loup.
Permettez au Loup
que je suis de sortir les crocs le temps d'une chronique et de
s'interroger sur la professionnalisation de la politique en France …
A
bas les politiques !
Chronique du Loup.
La France, nous
l'avons assez dit, est sortie de l'Ancien Régime en reculant :
la Révolution française n'aura été qu'un incident de parcours qui
dura, au mieux, un quart de siècle entre 1789 et 1814. Au point
d'appeler la période suivante : la Restauration. Comme un
retour à la case départ ! Le mot « révolution »
prit alors tout son sens si d'aventure certains ne l'avaient pas
encore compris avec Napoléon.
Ce fut, en fait,
une « révolution » au sens astronomique du terme !
Non pas du temps perdu, car des hommes de progrès avaient institué
quelques bonnes choses venues d'outre-Manche telles que la liberté
individuelle.Une « révolution » notamment dans le
domaine politique.
Jadis, au temps
des Rois, la politique était réservée au monarque ainsi qu'aux
grands de sa Cour. De hauts fonctionnaires, issus de la bourgeoisie
mutée en noblesse de robe, conseillaient nos princes. Et tous ces
gens-là, mon bon monsieur, détenaient leur charge d'un office
devenu progressivement héréditaire depuis Henri II. Autrement-dit,
tous faisaient de la politique de père en fils jusqu'à ce que les
Lumières ne prétendent s'en mêler ! Quoique !!!
Si on regarde de
près les hommes de la Révolution française, ils furent en très
grande majorité issus de ces noblesses-là. Les Robespierre,
Lafayette, Talleyrand et autres. Certes quelques Marat ou Saint-Just
dérogèrent. Mais on leur coupa vite la tête …
Certes, encore,
sous la Troisième République, ce furent les Francs-maçons qui
prirent le relais. Mais, quoiqu'il en soit, de véritables dynasties
de politiciens virent le jour, bon an mal an. La politique n'était
rien d'autre qu'un métier au service d'un monarque appelé plus tard
président.
Depuis la
décentralisation, le principe d'Ancien Régime s'est refondé,
révolutionné, au point qu'on en revienne à une quasi
féodalisation. Maires, conseillers généraux et régionaux ont
muté, peu à peu, en barons ou ducs locaux. Ne disait-on pas de
Jacques Chaban-Delmas qu'il était le duc d'Aquitaine ou de Jacques
Chirac qu'il était le maire du palais en sa mairie de Paris ?
Ici bas, en notre
Languedoc, il en est qui ont fait profession de la gestion des
affaires publiques. Et quelques esprits chagrins verront dans la
posture de Julie Frêche comme une envie d'héritage dynastique.
Mais, en République, la succession se fait au mérite et avec la
volonté du peuple.
Pourtant, il
n'empêche que la question de la succession se pose à chacun de ceux
qui ont fait profession de la politique. Et de tenter, parfois, de
préconiser un dauphin, une dauphine. Frêche le fit avec Mandroux au
grand dam de Saurel. Qu'en sera-t-il ici ou ailleurs ?
Et ne me faîtes
pas croire que ce sont les électeurs qui trancheront. Cela ne se
fait ni à l'UMP (salut à Copé !) ni au PS (salut à Aubry !)
Sinon, la France
ne serait plus la France !!!
13h35 :
Jingle du Loup.
Le
Loup :
Décidément,
le Loup ne s'arrange pas !
Bon … laissons
encore, une dernière fois, la place au débat pour l'opus 3 de
Provoscopie …
OPUS
3 : le droit de réponse. 13H35/13h57
Le Loup :
Dans
l'antre des belettes, il y a trois Grands ! Un citoyen, un maire
et un ancien député … Un exercice quelque peu psychanalytique
auquel se prête notre conseiller éditorial Jean-Pierre Grand.
Bien !
Revenons maintenant aux choses sérieuses … et voyons ce que cela
donne quand on voit le film de sa vie … et que l'on retrace la vie
et l'oeuvre d'un politicien à l'ombre des grands ! N'a-t-on
pas, alors, envie de crier :
A
bas les politiques ? …
Débat :
Parlons de notre Grand héros avant qu'il ne fasse l'histoire …
Parlons de sa jeunesse, de ses études, de ses copains, de son
physique et de son moral voire de sa morale.
Cela
fait quoi d'être un scorpion ?
Né en 1950
quelques mois après la déclaration de Schuman créant l'Europe unie
… Mais né où ? Dans quel milieu ?
De quand date
l'engagement politique ? Quelles furent les positions en mai
68 ?
Quel genre
d'élève ?
Débat :
Abordons présentement notre Grand héros alors qu'il entre dans
l'histoire. Une longue histoire depuis 1971 ! 42 année de vie
publique.
La genèse de
cette vie dédiée à la politique débute avec Chaban-Delmas …
avant d’atterrir au fin fond du monde, chez les bougnats !
Tout démarre à
La Cavalerie dans l'Aveyron … Comme une prédestination ?
Pourquoi dans ces terres perdues ? Le temps d'une
formation jusqu'en 1983 ?
Depuis 1983,
maire de Castelnau … pourquoi en redemander encore ? Trente
ans, cela ne suffit pas ? Ou alors, cela devient une véritable
rente !!!
Conseiller
général depuis 1989 avant de laisser la place à Frédéric
Lafforgue ? Pourquoi ? Le former pour en faire un dauphin ?
Un court passage
entre 1992 et 1998 à la région au temps de Jacques Blanc …
Pourquoi pas plus ? Gêné vis-à-vis du Front National ?
Un poste de
député durant au moins trois mandatures : un régal
villepiniste et médiatique ?
Surtout des
copinages divers mais peu variés : amis de MAM et de Alain
Juppé mais surtout Dominique Marie François René Galouzeau de
Villepin … pas de regrets, pas de remords ?
Suspendu de l'UMP
par Patrick Devedjian pour cause de colonialisme, c'est un comble …
comment avoir pu fréquenter un individu sorti droit d'Occident ?
Le héros
n'est-il pas fatigué ?
Bon … C'est
pas tout ça, mais il est l'heure !
Un mot de
conclusion … ?
13h57 :
Jingle Requiem.
Le
billet final du Loup. 13H57/13h59
Le Loup :
Un grand merci à
notre conseiller Jean-Pierre Grand de s'être prêter au jeu
provoscopien de la schizo-analyse ! La prochaine fois, le Loup,
le Renard et la Belette espérons vivement qu'il prenne les rennes de
la rédaction le temps d'une émission et qu'il redevienne celui
qu'il a toujours été … Reste à savoir, lequel des trois !!!
Quant à la
semaine prochaine, nous sortons de notre monde pour vaquer au-delà
des frontières de l'Agglo' de Montpellier. Y fait-il bon vivre ?
Faut croire puisque les uns comme les autres prétendent ne pas en
faire partie ! Nous attendons ainsi autour des micros le maire
de Frontignan, celui de Mauguio et celui de Sain-Gély-du-Fesc. Et
nous les écouterons attentivement …
Une émission à
ne pas rater.
Le tout sur le
93,9, tous les lundis de 12h30 à 14h00.
Remerciements à
la brillance de la technique réalisée par Gilles Gouget.
A lundi prochain
et en attendant n'oubliez jamais que …
La révolte
n'est pas un droit ; mais un devoir !
Merci !!!
13h59 :
Générique de fin (le loup, le renard et la belette).
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